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Baisse des postes au CAPLP 2024 : l’acharnement contre les lycées pros continue

14 décembre 2023

Le ministère poursuit son acharnement contre les lycées pros en s’attelant maintenant à baisser de manière drastique le nombre de postes aux concours de professeur de lycée professionnel. Pour la rentrée 2024, ce sont 198 postes qui seront purement et simplement rayés de la carte : du jamais vu en 6 ans !

Les postes offerts ne compenseront ni les départs en retraite ni les démissions toujours plus nombreuses en cette période anxiogène de projet de réforme. Des disciplines ne sont pas ouvertes ce qui empêche certain·es contractuel·les d’envisager une titularisation. Les jeunes scolarisé·es dans les lycées pros concentrent le plus de difficultés et nécessiteraient un recrutement de personnels statutaires bénéficiant d’un haut niveau de formation. En préférant un recours toujours plus important aux contractuels, le ministère fait une fois de plus la preuve d’un renoncement scolaire scandaleux.

Le SNUEP-FSU dénonce l’acharnement dogmatique du ministère du travail, comme celui du ministère de l’Education nationale, à démanteler nos lycées professionnels publics. Pour le SNUEP-FSU, nos élèves ont besoin de formations solides et d’enseignant·es sous statut formé·es et en nombre suffisant.

Projet de grilles horaires bac pro : avec le boycott majoritaire, le Conseil supérieur de l’Éducation du 14 décembre n’a pas pu se tenir

14 décembre 2023

Nos organisations syndicales FSU, SNETAA-FO, SGEN-CFDT, CGT Éduc’action, SNALC, SUD éducation avec la FCPE et Les Lycéens ! réunis en CSL le mercredi 29 novembre ont dénoncé d’une seule voix la réforme des lycées professionnels et avec force le texte relatif aux grilles horaires du cursus bac pro. A la suite de cette expression unitaire, le ministère a proposé un nouveau projet qui acte toujours des pertes d’heures pour les élèves qui ne sont pas compensées réglementairement. Les bouleversements majeurs envisagés auront un impact lourd sur les conditions de travail de l’ensemble des personnels exerçants en lycées professionnels ainsi que les conditions d’études des élèves. Des questions centrales pour organiser la rentrée 2024 ont été posées et restent toujours sans réponse. Les textes concernant les modalités d’organisations et d’évaluation de l’oral de projet comme celui concernant les parcours diversifiés ne sont pas connus. Face à cette précipitation et à l’absence de modalités claires de mise en oeuvre l’intersyndicale des lycées pro s’est adressé solennellement à M. Le Ministre Gabriel Attal afin qu’il renonce à présenter ce projet au CSE du 14 décembre. Il n’a pas répondu positivement à cette demande et a maintenu l’examen du texte à l’ordre du jour du CSE.

C’est pourquoi la FSU, FO, le SGEN-CFDT, la CGT Éduc’action, le SNALC, SUD Education,la CNT, la Fep-CFDT, le SNFOEP, la CFTC, le SNEC-CFTC soutenue par la FCPE, Les Lycéens !, la FAGE, l’Union Étudiante, la ligue de l’enseignement, l’APPEL, l’UNAF ont décidé de ne pas siéger au CSE, le 14 décembre. Elles demandent qu’il engage de véritables concertations au sein du ministère de l’Education nationale sur la base d’un diagnostic rigoureux à partager sur l’état de l’enseignement professionnel et son avenir.

PROJET DE BAC PRO RENTRÉE 2024 – LES RAISONS D’UNE GRÈVE LE MARDI 12 DÉCEMBRE

Le 6 décembre 2023, la ministre a dévoilé une nouvelle version de son projet de bac pro 2024 :
si quelques améliorations ont été obtenues, le projet global est inchangé : les élèves auront moins de cours.
La ministre continue de passer en force, contre les personnels.

LE BAC PRO DE CAROLE GRANDJEAN RESTE INACCEPTABLE :

Ce mardi 12 décembre 2023 toutes et tous en grève et dans l’action à Marseille à 10h30 porte d’Aix vers la préfecture !!

Toutes et tous en grève ce mardi 12 décembre 2023

Manifestation à 10H30 à Marseille porte d’Aix

A l’initiative du SNUEP-FSU l’intersyndicale voie pro de l’académie de Nice s’est réunie et a décidé, suite à l’appel national à la grève, d’une manifestation commune avec l’intersyndicale de l’académie d’Aix-Marseille. Cette grève et ses manifestations font suite aux annonces gouvernementales sur le projet de réforme des grilles de bac pro.
Ce projet aura pour conséquence de donner encore moins d’école aux enfants les plus fragiles scolairement et socialement, et de dégrader les conditions de travail des élèves et personnels.
Pour la FSU et l’intersyndicale ce projet, qui sera présenté en Conseil Supérieur de l’éducation du 14 décembre, est inacceptable. La mobilisation de toutes et de tous est indispensable pour arrêter ce démantèlement organisé de la voie pro.

tract intersyndical à sortir et à distribuer dans les casiers des personnels des EPLE, mais aussi devant les établissements (en dehors) aux élèves et parents d’élèves pour les informer de ce projet néfaste et réactionnaire qui va fortement les impacter.

Formulaire d’inscription aux stages SNUEP-SNES-SNEP FSU 2023/2024

Cliquer sur l’intitulé d’un stage pour obtenir les infos et le descriptif.

[contact-form-7 id= »52f136f » title= »Inscription formations 2023-2024 SNUEP et SNES FSU »]

Après confirmation, vous allez recevoir un mail avec le récapitulatif de vos inscriptions ainsi qu’un modèle d’autorisation d’absence à compléter pour chaque stage et à remettre à votre chef d’établissement/de service UN MOIS AVANT LA DATE DU STAGE AU PLUS TARD. Exemple pour un stage le 15 novembre; il faut déposer la demande d’autorisation d’absence le 15 octobre au plus tard.

Réforme des lycées pros : l’ensemble des organisations syndicales et la FCPE claquent la porte de la CSL

29 novembre 2023

Nos organisations syndicales FSU (SNUEP, SNES, SNEP), SE-UNSA, SNETAA-FO, CGT Éduc’action, SGEN-CFDT, Fep-CFDT, SNALC, Sud éducation, SNEC-CFTC, la CNT-FTE et la FCPE réunies en commission spécialisée des lycées ce mercredi 29 novembre ont dénoncé d’une seule voix et avec force le texte relatif à la transformation profonde des trois années de cursus bac pro et exigent du ministre qu’il renonce à présenter ces textes au Conseil supérieur de l’Éducation du 14 décembre 2023.

En l’état, ce texte induit des pertes lourdes en termes d’horaires disciplinaires pour les élèves : suppressions de deux heures hebdomadaires en seconde et première, de 4 semaines de cours en terminale soient un total de 203 heures sur les trois ans du bac pro, l’équivalent de 7 semaines d’enseignement. Pour le ministre, le « choc des savoirs » en lycée pro s’illustrerait donc par moins d’école et plus d’entreprise.

Alors que les épreuves professionnelles représentent de gros coefficients pour l’obtention du diplôme, 85 heures d’enseignement professionnel seraient supprimées en terminale.

Le parcours distinct organise une inégalité de réussite aux épreuves, risquant aussi d’augmenter le décrochage de fin de parcours et de baisser le taux de réussite des jeunes au diplôme : certains élèves maintenus en lycée bénéficieront de la proximité de leurs enseignant·es quand celles et ceux en stage seront privé·es de période de révision.

Tous ces bouleversements auront aussi un impact lourd sur les conditions de travail de l’ensemble des personnels exerçants en lycée professionnel.

Des questions majeures et centrales pour organiser la rentrée 2024 ont été posées et sont restées lettre morte faute de temps de la part des services pour rédiger des textes précis. Ainsi, on ne sait pas aujourd’hui les modalités d’organisation de l’oral de projet qui nécessitera un texte réglementaire, nous n’avons pas en main non plus la note de service concernant les parcours différenciés.

Face à cette précipitation et à l’absence de modalités claires de mise en œuvre que représentent l’ensemble de ce projet, l’intersyndicale unitaire des lycées pros FSU (SNUEP, SNES, SNEP), SE-UNSA, SNETAA-FO, CGT Éduc’action, SGEN-CFDT, Fep-CFDT, SNALC, Sud éducation, SNEC-CFTC, CNT-FTE et la FCPE s’adressent solennellement à M. le Ministre Gabriel Attal afin qu’il renonce à ces projets et qu’il engage de véritables concertations au sein du ministère de l’Éducation nationale avec l’intersyndicale et la FCPE pour renforcer la voie professionnelle scolaire. 

Paris, le 29 novembre 2023

BAC PRO – DÉCRYPTAGE DU PROJET POUR LA RENTRÉE 2024

Le 22 novembre 2023, la ministre a dévoilé sa réforme de la terminale bac pro,

amputée de 4 semaines de cours et de 2 heures hebdomadaires en seconde et en première.

Alors que le projet est annoncé depuis des mois, le ministre veut passer en force, contre les personnels.

Les textes sur la classe de terminale bac pro percutent tous les niveaux

24 novembre 2023

Leur réforme c’est 7 semaines de cours en moins sur les 3 ans

Alors que Carole Grandjean s’essouffle à répéter à l’envi ses mêmes boniments, les textes support de son véritable projet sont une preuve implacable de ses mensonges et de son projet de saccage des lycées pros.

Le ministère envisage de supprimer 4 semaines de cours en classe de terminale et 2 heures hebdomadaires dans les classes de 2de et 1re. Au total ce sont 203 heures d’enseignement qui sont confisquées aux élèves soit l’équivalent de 7 semaines de cours sur l’ensemble de leur parcours. Carole Grandjean rejoint donc son prédécesseur sur le podium des fossoyeurs des lycées pros : sa réforme est la copie de la réforme Blanquer en pire.

Si l’appel intersyndical à la grève du 12 décembre a bloqué leur décision initiale de positionner les épreuves en mars, persistent de graves dangers explicitement notifiés dans les textes.

L’augmentation des stages en terminale implique inéluctablement une diminution des heures d’enseignement et le choix ministériel est de cibler brutalement les disciplines professionnelles. En positionnant les épreuves début mai et en supprimant drastiquement 85 heures d’enseignements professionnels en terminale, le ministère prend le risque inconsidéré d’augmenter l’échec des jeunes aux examens – les épreuves professionnelles ayant les plus gros coefficients.

Il persiste à imposer des parcours distincts de 6 semaines non sécables à partir du mois de mai avec une seconde session d’examens fin juin pour l’oral de « projet » (nouvelle appellation du chef-d’œuvre) et la PSE (prévention santé environnement). Il organise ici une inégalité de préparation aux épreuves entre les élèves qui « choisiraient » de rester au lycée pro et qui bénéficieront d’une préparation aux examens avec leurs enseignant·es, et les élèves en stage qui n’auront aucune période de révision. Ce choix profondément inégalitaire et stupide révèle une fois de plus que leur seule motivation est, d’une part, de rapprocher nos formations scolaires du modèle patronal de l’apprentissage en offrant de la main d’œuvre gratuite aux entreprises et, d’autre part, de libérer les personnels et les plateaux techniques pour certifier les candidat·es libres, notamment les apprenti·es. C’est l’ensemble du lycée pro qui est réformé pour répondre aux exigences du patronat.

Contrairement aux annonces de Gabriel Attal qui prétend mener un projet sur les exigences des savoirs, c’est bien une nouvelle diminution du temps de formation qu’il orchestre avec, de surcroît, une désorganisation complète de nos établissements et une dégradation des conditions de travail des personnels. Ces diminutions horaires auront inéluctablement des conséquences concrètes sur les postes. En conjuguant cela aux projets de fermetures de 15 % des filières supposées non insérantes et à leur obstination à vouloir remplacer les enseignant·es par des « profs associés », le ministère se débarrasse sans vergogne et progressivement des profs de lycée pro. Dans le même temps, accompagné docilement par les Régions, le ministère instrumentalise le parcours et les formations des jeunes au prétexte de répondre à la pénurie de main-d’œuvre.

Le SNUEP-FSU rappelle son opposition farouche à cette réforme dévastatrice des lycées professionnels. Il appelle les personnels à échanger, multiplier les heures d’information syndicale et engager dès maintenant des actions dans les établissements pour amplifier la grève intersyndicale nationale le mardi 12 décembre.

L’intersyndicale voie pro exige le retrait du projet de réforme Grandjean contre le lycée professionnel

18 novembre 2023

La ministre déléguée à l’enseignement et la formation professionnels s’arcboute sur ses positions de casse du lycée professionnel en voulant imposer une dégradation brutale et scandaleuse de la classe de terminale. Le calendrier imposé est de surcroît intenable et irrespectueux du travail des personnels car la mise en œuvre de ce projet est envisagée dès la rentrée 2024.


Concrètement, le parcours commun des élèves de lycée pro serait diminué de 6 semaines et les épreuves aux examens avancées afin d’introduire un parcours personnalisé de 6 semaines. Ce projet est bien une forme de recyclage de l’échec criant du bac Blanquer.

Après un bac pro 3 ans, c’est un bac pro 2,5 ans, voire 2 ans qu’organise le ministère. Au prétexte de diversification, le ministère détournerait un grand nombre d’heures de cours pour répondre à une commande présidentielle : augmenter le nombre de semaines de stages. Inacceptable quand nos élèves ont besoin de plus et mieux d’école. C’est toute l’architecture du bac pro qui est laminée.

Imposer des stages en juin en lieu et place des épreuves actuelles est absurde et dangereux pour les élèves des lycées pros qui seront en concurrence avec les élèves de 2nde GT dont le capital réseau pour trouver des entreprises d’accueil est plus important.

Comme si cela ne suffisait pas, cette dévalorisation du bac pro s’accompagne, dès cette année, de la refonte de la carte des formations qui prévoit la réduction de 15 % des places de formation actuelles décrétés « non-insérantes » à la rentrée 2026. Ce qui ne laisse guère de doute sur l’ampleur des suppressions de postes et des reconversions forcées que vont subir les collègues.


Ce n’est ni l’intérêt des élèves ni celui des personnels qui conduit cette réforme. Avec les personnels, nous refusons ce projet : le ministère portera la lourde responsabilité d’un accroissement du décrochage scolaire, de résultats en baisse aux examens et d’une dégradation sans précédent des conditions de travail des personnels. C’est clairement une annualisation du temps de travail des PLP qui se profile.


Le ministère veut prendre de court les PLP, les élèves et leurs organisations représentatives dans un agenda très rapide : les textes passeront au Conseil supérieur de l’Éducation le 14 décembre. C’est une nouvelle fois un profond mépris envers les PLP et leurs syndicats.

Pour stopper ce démantèlement organisé de nos lycées pros et contre cette dégradation de la classe de terminale nos organisations mèneront le combat en intersyndicale.

L’intersyndicale voie pro SNETAA-FO, CGT Éduc’action, SNUEP-FSU, SNEP-FSU, SUD Éducation, SNALC, CNT appelle tous les personnels à échanger et organiser partout des heures d’information syndicale et des assemblées générales d’établissement pour préparer et réussir une mobilisation d’ampleur le mardi 12 décembre pour exiger le retrait de cette réforme des lycées pros.

Paris, le 15 novembre 2023

Écoles de production dénoncées en CSE

17 novembre 2023

Vœu sur l’initiative de la FSU, de la CGT, de l’UNSA, du SNALC, de FO et de la FCPE sur les écoles de production lors du Conseil supérieur de l’Éducation (CSE) du 16 novembre 2023

Le CSE se voit  une fois de plus sollicité afin de poser un avis consultatif sur la reconnaissance par l’État d’écoles de production. Nos organisations continuent de demander la suppression des écoles de production. Cette reconnaissance ouvre droit à la perception de la taxe professionnelle et à la délivrance de diplômes. La participation de l’État aux frais de fonctionnement de ces écoles hors contrat ne peut exister que sous réserve d’un avis positif du CSE. 

Mais comment envisager le financement public d’écoles dont les formations  organisent le travail de jeunes, très souvent mineur·es sans réel contrôle en termes de sécurité et de temps de travail ? Comment accréditer des formations dont les contenus et les modalités sont conditionnés par l’obligation de produire, des formations soumises aux logiques marchandes? Comment accepter de voir se développer une main d’œuvre gratuite, corvéable à merci sous couvert de formation? 

Les rapports d’inspection, quand ils existent, font parfois état de manquements graves en matière de sécurité et de conformité à la réglementation, et dans la grande majorité des cas ils font le constat d’importantes insuffisances pédagogiques. 

Dans le contexte actuel, le CSE demande un suivi de ces écoles, des visites d’inspection et des bilans réalisés par des inspecteur/trice·s de l’Éducation nationale et par l’inspection du Travail, vu la double nature de ces écoles.

Pour toutes ces raisons, le CSE dénonce les procédures de reconnaissance d’écoles privées hors contrat qui semblent aujourd’hui bénéficier de toute l’attention des ministères du Travail et de l’Éducation nationale, visiblement soucieux de développer une formation professionnelle sur le modèle des écoles d’entreprises du XIXème siècle. 

Avis favorable (pour 47, contre 4, abstention 18)