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Budgets des établissements scolaires : un plan d’urgence pour l’école publique, vite !

29 novembre 2022

L’inflation galopante pesant sur les dépenses d’énergie, de papier ou des denrées alimentaires fragilise le fonctionnement des établissements publics d’enseignement en 2022. La diminution forte de la taxe d’apprentissage induite pat la loi « avenir pro » ajoute à la difficulté des lycées pros.

Cela fait naître de fortes inquiétudes à l’heure où les conseils d’administrations (CA) de nos collèges, lycées et lycées professionnels sont réunis pour discuter et adopter leur budget pour 2023.

Rares sont les Collectivités Territoriales qui ont augmenté leur dotation financière aux EPLE pour 2023 pour tenir compte du contexte. Nos établissements scolaires se trouvent en difficulté pour élaborer et adopter un budget sincère, en rapport avec leurs dépenses prévues pour 2023.

Pour nos syndicats, il est inenvisageable d’entrer localement  dans une logique d’austérité opposant les dépenses pédagogiques légitimes, aux dépenses de fonctionnement lourdement impactées par l’évolution des prix du fioul, du papier ou de l’électricité. Faudra-t-il fermer des établissements, renoncer à telle acquisition de matériel  ou sortie pédagogique pour rendre possible le paiement des dépenses d’énergie ? Il serait alors choisi de sacrifier la formation de la jeunesse.

À l’heure où le gouvernement a imposé ses projets de lois de finances à coups d’article 49.3, notamment pour éviter toute taxation des super profits des grandes entreprises, à l’heure où la Cour des comptes souligne la bonne santé financière d’une grande partie des départements et régions, les CA et les personnels ne tomberont pas dans le piège de soumettre l’école à des logiques d’austérité pour porter gravement atteinte à l’exercice quotidien essentiel de toutes les missions du service public d’enseignement. 

Pour les syndicats du second degré de la FSU, l’État et les CT doivent assumer leurs responsabilités et financer le service public d’éducation à la hauteur de ses besoins et ambitions.

Un plan de soutien financier aux EPLE et EPLEFPA de l’enseignement agricole doit être mis en œuvre !

Il en va du fonctionnement d’un service public et de  l’égalité de traitement des usagers.  Les élèves et les personnels, n’ont pas à faire les frais de politiques budgétaires d’austérité, ni des querelles entre les collectivités territoriales et l’État. Il faut aussi engager un vaste plan  de rénovation et d’adaptation des bâtiments aux effets climatiques.

Notre pays a les moyens de financer le fonctionnement ambitieux de nos établissements scolaires.

Bien étudier, bien exercer nos métiers, dans de bonnes conditions, doit rester une priorité pour l’enseignement public de notre pays.

L’intersyndicale plus que jamais mobilisée contre le projet de réforme des lycées professionnels

24 novembre 2022

Après une première journée de grève majoritaire dans les lycées professionnels contre le projet de réforme des lycées professionnels, le deuxième temps fort du mardi 17 novembre est une étape réussie qui installe la contestation des professeurs de lycée professionnel dans le paysage social et dans la durée.

Ces mobilisations sont essentielles et indispensables pour forcer le gouvernement à abandonner son projet initial. Le ministère de l’Éducation nationale a enfin concédé un premier recul en convoquant, dès vendredi, une réunion d’échanges sur la situation de la voie professionnelle hors cadre du projet de réforme. Être reçu par le ministère de l’Éducation nationale était une de nos revendications, c’est pourquoi nos organisations syndicales s’y rendront pour porter nos revendications et la voix des personnels – notamment l’urgence sociale de renforcer nos lycées professionnels pour faire réussir tous les jeunes.

D’ores et déjà, l’intersyndicale soutient toutes les initiatives des établissements mobilisés notamment contre les fermetures brutales décidées pour septembre 2023, à Paris comme dans le Grand-Est.

Ce premier recul ne signifie pas un abandon du projet de réforme. L’intersyndicale maintient donc sa volonté de continuer les luttes et appelle les collègues à poursuivre la mobilisation sous des formes diverses et variées pour montrer leur opposition résolue contre ce projet, en organisant en particulier des actions établissements sur le mois de décembre (déploiement de banderoles, interpellations des élus régionaux, réunions avec les parents, tractages….) dans la perspective de construire une troisième journée de mobilisation en janvier.

Pétition pour le retrait de la réforme Macron des lycées professionnels

20 novembre 2022

Les organisations syndicales CGT, FSU, SNETAA-FO, UNSA Education, SNALC, SUD Education, CNT Education ne peuvent pas valider le bilan présenté par le ministère et qui lui sert de base pour les concertations. Elles revendiquent un état des lieux partagé, honnête et rigoureux préalable, sans lequel elles considèrent inacceptable d’envisager une quelconque réforme.

Elles dénoncent le projet de réforme structurelle des lycées professionnels qui mettrait en grave danger l’avenir scolaire et professionnel des jeunes et engendrerait des suppressions de postes chez les personnels.

Sous couvert d’autonomie renforcée, des « expérimentations d’établissements » pourraient être menées ouvrant la porte à l’irrespect des grilles horaires disciplinaires nationales. Pour nous, chaque élève, peu importe son lieu de vie et de scolarité, doit bénéficier des mêmes horaires de cours pour accéder à un même diplôme. Et toutes les disciplines doivent être enseignées car elles jouent un rôle essentiel dans leur formation professionnelle et citoyenne. Le cadre national des grilles horaires doit être maintenu pour garantir des diplômes nationaux assurant une qualification reconnue.

Les fermetures et ouvertures de filières dans les établissements seraient décidées uniquement au prisme des besoins locaux et à court terme des entreprises ce qui, pour nos élèves, va considérablement réduire leur choix de formation. Les enseignant.es seront quant à eux.elles sommées de se reconvertir. La carte des formations doit au contraire permettre de répondre, sur tout le territoire, aux demandes d’orientation des élèves. La modification nécessaire des cartes de formation ne doit pas répondre aux seuls besoins des métiers dits en tension, mais doit prendre en compte les enjeux environnementaux et sociaux à long terme.

Ce projet de réforme constitue un danger pour l’avenir des élèves et une véritable remise en cause d’un des piliers de l’École républicaine, l’égalité entre tous les jeunes. Par conséquent, nous demandons le retrait de ce projet.

En signant cette pétition, je m’associe à la demande de retrait du projet de réforme formulé par l’intersyndicale voie pro nationale.

Engageons-nous contre les violences sexistes et sexuelles qui s’exercent aussi sur les apprenties et les stagiaires

18 novembre 2022

Malgré la législation en vigueur, le monde du travail reste un lieu où s’exercent massivement les violences sexistes et sexuelles. Le manque de moyens dédiés à la prévention, à l’écoute et l’accompagnement des victimes garantit, trop souvent encore, l’impunité des agresseurs et la persistance des violences. Les personnes en situation de vulnérabilité financière ou en lien de subordination sont sur-représentées parmi les victimes.

Toutes les études convergent pour dénoncer le fait que les stagiaires et les apprenties du fait de leur âge, de leur double lien contractuel école-travail, font partie des populations les plus durement touchées par les violences sexistes et sexuelles. Les enquêtes menées dans le supérieur (stages universitaires, grandes écoles) ont permis de révéler ces faits et l’ampleur de ce fléau. Il faut maintenir que des actions fortes soient mises en place pour que cela cesse. En revanche, persiste une omerta intolérable dans l’éducation nationale, comme dans l’enseignement agricole et maritime, quand il s’agit des stages obligatoires pour les élèves de lycée professionnel ou des apprenties sur les premiers niveaux de qualification. Or, les professeurs de lycée professionnel sont confrontés à des paroles de jeunes élèves, souvent mineures, victimes de violences sexistes et sexuelles durant leurs périodes de stage en entreprise. Pourtant, le gouvernement et la ministre déléguée Carole Grandjean refusent de s’attaquer au sujet et veulent imposer aux élèves toujours plus de stages et moins d’école. Si ce choix politique présente des dangers avérés pour l’avenir de la jeunesse scolarisée dans les lycées professionnels, il présente aussi le risque d’aggraver cette mise en danger pour les filles.

Pour le SNUEP-FSU, le SNETAP-FSU, le SNEP-FSU, le SNES-FSU, le SNUAS-FP et le SNESUP-FSU, l’école offre un cadre plus protecteur et c’est plus et mieux d’école dont ont besoin nos élèves et parmi eux : les filles. L’Éducation nationale, comme les ministères de tutelle de l’enseignement agricole et maritime, serait mieux inspirée d’obliger les entreprises qui accueillent les jeunes à des actions fortes de prévention et de protection pour leur garantir la sécurité des lieux de stage. Dans le supérieur, le plan de lutte contre les violences sexistes et sexuelles doit également intégrer cette problématique.

Engagée contre les violences sexistes et sexuelles, la FSU appelle les personnels à se mobiliser le 19 novembre aux côtés de NousToutes et le 25 novembre dans le cadre de la journée internationale pour lutter contre les violences faites aux femmes et aux filles.

LA MOBILISATION POUR SAUVER LES LYCÉES PROFESSIONNELS EST BIEN ANCRÉE ET S’INSCRIT DANS LA DURÉE !

17 novembre 2022

Le niveau de mobilisation reste élevé dans les lycées professionnels et démontre que cette lutte juste et légitime pour sauver nos lycées professionnels, nos métiers et l’avenir des jeunes s’inscrit bien dans le paysage social et dans la durée.

Les professeur·es de lycée professionnel ne sont pas dupes des pseudos concertations organisées par Carole Grandjean. Celles-ci ne sont qu’un alibi pour tenter de diviser les personnels, faire taire la contestation et empêcher les mouvements de grève. De ce dernier point de vue c’est, pour la ministre déléguée, un échec cuisant puisque la grève d’aujourd’hui 17 novembre a été suivie et que les collègues dans les établissements restent fortement opposés au projet de réforme.

Le SNUEP et la FSU dénoncent la méthode grotesque. La ministre déléguée prétend que tout est ouvert et qu’elle annoncera ses orientations et arbitrages début 2023. Pourtant, les conclusions sont déjà écrites : l’augmentation du nombre de semaines de stage, la révision des cartes de formation au prisme de l’intérêt économique des entreprises de proximité et la révision des organisations pédagogiques sont des éléments intangibles des concertations. Ces dernières se déroulent « tranquillement » sans les syndicats qui représentent plus de 70 % des PLP. Le SNUEP et la FSU refusent de participer à cette mascarade car les analyses sont tronquées et mensongères – comme le bilan élogieux et honteux de la dernière réforme Blanquer, à l’opposé des analyses des collègues.

Pour le SNUEP et la FSU, l’annonce de fermetures de lycées professionnels envisagées à Paris et dans le Grand-Est est un véritable scandale ! Le silence du ministère de l’Éducation nationale et de Carole Grandjean en dit long sur leur complicité ! S’il s’était agi de la fermeture d’entreprises sur un territoire, il est fort à parier que le ministre du travail aurait déjà trouvé des moyens pour les « sauver ».

Une page de la grande Histoire des lycées professionnels s’écrit en ce moment. Deux choix possibles : collaborer ou résister. Le SNUEP-FSU avec la FSU est et restera du bon côté de l’Histoire pour empêcher ce sabordage organisé des lycées professionnels.

D’ores et déjà, le SNUEP-FSU appelle à se saisir et contourner la semaine ministérielle des lycées professionnels prévue du 5 au 9 décembre, en organisant des actions fortes dans tous les établissements pour montrer notre exigence du retrait de ce projet de réforme. Le SNUEP-FSU portera aussi dans l’intersyndicale de la voie professionnelle la nécessité de construire un nouveau temps fort national pour sauver l’avenir de la jeunesse et nos métiers !

Dans le cadre de la semaine d’actions de la FSU sur l’éducation prioritaire, le SNUEP-FSU rappelle son exigence d’intégration des lycées professionnels dans la carte de l’éducation prioritaire pour qu’ils bénéficient des moyens de ce dispositif sans conditions.

Guide : Les personnels en situation de handicap

Nous pouvons toutes et tous subir au long de notre carrière une situation qui nous expose à être, pour un temps ou de façon définitive, dans une situation d’empêchement d’exercer nos missions comme avant, du fait de la maladie (la sienne ou celles de nos proches) ou du handicap. C’est un droit de pouvoir continuer à travailler ou de commencer à travailler pour les personnes déjà en situation de handicap, quand cela est possible et de le faire dans des conditions adaptées à sa situation. Ces conditions sont caractérisées comme « raisonnables » par le défenseur des droits. Il y a donc un combat syndical à mener pour obliger l’employeur à se donner les moyens de dépasser les intentions de principe.

Cette question est au cœur de nos mandats parce qu’elle interroge les moyens de la solidarité sociale et parce qu’elle interroge les environnements de travail, leurs dysfonctionnements et parfois même leur toxicité pour l’ensemble des salariés. Connaître ses droits est également un pas vers la défense collective des salariés.
C’est une obligation pour l’employeur de favoriser le maintien en activité des personnels en situation de handicap. Cette obligation impose 6 % de salariés dits « bénéficiaires de l’obligation d’emploi (BOE) ». La Fonction publique, dans ses trois versants, n’atteint pas cet objectif (5,44 % en 2021). L’Éducation Nationale est loin du compte et doit donc verser depuis peu, chaque année, une contribution au FIPHFP (presque 32 millions d’euros en 2022), organisme qui gère des aides financières pour l’adaptation des postes des BOE.

Ce guide est une boite à outils qui présente le cadre réglementaire opposable à l’administration. Vous y trouverez les droits des personnels BOE, les procédures à mettre en œuvre pour être reconnu BOE (RQTH, MDPH), les ressources hospitalières, le déroulement de carrière et les conditions d’aménagement de poste, l’aide sociale, les transports et l’accessibilité. Au-delà des aménagements matériels, il s’agit de travailler aussi sur les collectifs de travail et l’accompagnement des équipes.

Télécharger le guide

Grève du 17/11: Communiqué syndicats FSU

Les syndicats de la FSU, SNUEP, SNETAP, SNES, SNEP, SNASUB, SNICS, SNUAS-FP, SUI, SNUPDEN, la FSU Territoriale, toujours à l’offensive contre le projet de réforme des lycées professionnels : toutes et tous dans la rue le 17 novembre !

Le projet de réforme des lycées professionnels est l’attaque la plus brutale jamais orchestrée contre le système éducatif. Il signe clairement un abandon de l’ambition scolaire pour les 650 000 élèves scolarisés dans cette voie des lycées. Augmenter le temps de stage en entreprise, c’est diminuer d’autant le temps de présence des jeunes à l’école. En plus des pertes d’enseignements disciplinaires, cette jeunesse, pourtant la plus fragile socialement et scolairement, sera donc privée d’éducation et de promotion de la santé, d’accès à un accompagnement social et aux projets éducatif, sportif et artistique au sein de leur établissement.

Les réformes successives ont déjà profondément affaibli la voie professionnelle scolaire. Pour autant, les personnels sont restés pleinement mobilisés pour la réussite de leurs élèves. Pourtant, le gouvernement envisage aujourd’hui des suppressions massives de postes, des fermetures de lycées et des modifications en profondeur de nos métiers.

Malgré les stratégies de communication du ministère, les concertations engagées par Carole Grandjean ne dupent personne : il suffit de prendre connaissance du document servant de bases aux discussions pour comprendre que les éléments socles qui bordent la réforme sont présents et que le ministère ne renonce en rien à son projet.

Les syndicats de la FSU ne trahiront pas les personnels et continueront de défendre un projet éducatif ambitieux permettant de faire réussir toute la jeunesse. Ils exigent l’abandon du projet de réforme des lycées professionnels et une véritable revalorisation de la voie professionnelle, de tous les personnels qui œuvrent en son sein et des différents métiers.

Les syndicats de la FSU appellent les personnels à se mobiliser, en particulier par la grève le 17 novembre pour exiger le retrait de ce projet de réforme, pour l’inscription des lycées professionnels, généraux, technologiques, agricoles et maritimes dans les dispositifs de l’éducation prioritaire et pour de véritables améliorations de nos conditions de travail. Les jeunes des milieux populaires, massivement présents dans les lycées professionnels, méritent mieux que cette réforme stigmatisante.

Réforme Blanquer : les personnels font le CONTRE BILAN

Ne nous laissons pas déposséder de notre expertise et de notre parole et répondons nombreuses et nombreux à ce questionnaire !

Le ministère de Carole Grandjean lance des concertations sur la réforme des lycées professionnels mais ne renonce en rien aux éléments socles qui cadrent son projet : augmentation des PFMP, organisation pédagogique locale, révision brutale des cartes de formation. Le document qui sert de base aux « discussions » pose un bilan unilatéral de la transformation de la voie professionnelle imposée par Blanquer (pages 7 et 8) : il qualifie par exemple la co-intervention, le chef-d’œuvre, l’apprentissage et les familles de métiers comme des innovations structurantes aux résultats encourageants. 

Face à ces mensonges et cette mascarade : le SNUEP-FSU oppose son bilan issu de l’expertise et de l’expérience des personnels que nous sommes.

Prenons la parole en répondant en deux minutes à ce questionnaire.

Cliquer sur suivant en bas pour accéder au questionnaire

Mouvement INTER 2023 : le calendrier

À chaque étape de votre participation au mouvement, les militant·es et les élu·es du SNUEP-FSU, dont l’expertise en matière de mutations n’est plus à démontrer, sont à votre disposition pour vous conseiller et vous accompagner. Prenez contact avec votre section académique SNUEP-FSU !

  • du mercredi 16 novembre 2022 à midi au mercredi 7 décembre novembre 2022 à midi, saisissez sur SIAM vos vœux pour le mouvement inter et / ou pour le mouvement sur postes spécifiques nationaux. Contactez les militantes et militants de votre section académique SNUEP-FSU afin d’obtenir les meilleurs conseils pour élaborer votre liste de vœux.
  • à partir du 8 décembre 2022, téléchargez votre confirmation de demande dans l’application SIAM. Vous devrez la remettre à votre chef·fe d’établissement une fois complétée des pièces justificatives et signée (voir calendrier académique). Faites parvenir une copie complète de votre dossier à votre section académique SNUEP-FSU.
  • en décembre 2022, en fonction du calendrier académique, constituez votre dossier justifiant votre situation de handicap. Il est recommandé de ne pas attendre le dernier moment pour entreprendre vos démarches auprès du/de la médecin conseiller·e technique du recteur et/ou auprès de la maison départementale des personnes en situation de handicap. Contactez votre section académique SNUEP-FSU pour vous accompagner dans vos démarches.
  • en janvier 2023 selon le calendrier académique, consultez votre barème. La section académique du SNUEP-FSU vous aidera pour la vérification du nombre de points attribués pour chacun de vos vœux et vous accompagnera dans votre éventuelle demande de correction.
  • vendredi 10 février 2023 minuit : date limite pour envoyer une demande tardive. Contactez votre section académique SNUEP-FSU pour vous accompagner dans votre démarche.
  • mardi 7 mars 2023 : l’administration vous communiquera votre résultat individuel. Si vous n’êtes pas satisfait·e du résultat, contactez les élu·es paritaire du SNUEP-FSU (capn@snuep.fr) qui pourront vous accompagner et vous représenter auprès du ministère pour un recours.

Ne restez pas seul·e !

Plus que jamais, vous devez être accompagné·e dans toutes les étapes de
votre demande de mutation, inter puis intra, afin d’adopter la bonne stratégie, de ne pas commettre d’erreurs dans la saisie de vos vœux et de constituer correctement votre dossier. Plus que jamais, vous devez choisir d’être accompagné·e par le SNUEP-FSU pour vous défendre en cas de recours. C’est par une connaissance scrupuleuse de votre dossier que nos militant·es pourront être efficaces.