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Guide pour agir et défendre les droits des personnels de la Fonction publique

Fonctionnaires et Contractuel-les: ce qu’il faut savoir aujourd’hui pour agir et mieux vous défendre.

La loi de transformation DESTRUCTION de la Fonction publique du 6 août 2019 impacte le quotidien des agent-es de la Fonction publique.Pour y faire face, la FSU a réalisé ce guide pratique pour dire ce que la loi change et aider les personnels à faire valoir leurs droits.Nous espérons qu’il vous sera utile

La CGT et la FSU ont tenu à porter la colère des PLP aux concertations avant de quitter la séance

Trois jours après une mobilisation historique dans les lycées professionnels où les personnels ont exprimé leur opposition forte au projet de réforme, le ministère a maintenu les concertations ce vendredi 21 octobre pour élaborer des pistes de mise en œuvre.

La CGT Éduc’action et le SNUEP-FSU y sont restés dix minutes pour redire la colère des personnels de lycées professionnels et ont quitté la salle. Elles ont relu la lettre ouverte envoyée au ministre qui, à ce jour, est restée lettre morte. Au final, les organisations syndicales qui refusent de négocier, dans le cadre imposé, représentent plus de 70 % des collègues.

La ministre a assuré devant une assemblée très attentive qu’aucune suppression de postes ne serait envisagée ! Qui peut croire cette parole ? Pour rappel, le même argument avait été avancé par le ministre Blanquer avec comme résultat la suppression de 1500 postes sur le quinquennat. Par ailleurs, la ministre a confirmé vouloir renforcer le développement de l’apprentissage et la mixité des publics.

Cette réforme est imposée de manière autoritaire et pyramidale sans qu’un diagnostic rigoureux sur les difficultés des élèves et des personnels n’ait été discuté. Ce qui, pour les organisations syndicales qui refusent de participer aux concertations de ce jour, est inacceptable. Nous ne saurions considérer que la seule et l’unique heure allouée aujourd’hui pour un prétendu bilan de la Transformation de la voie professionnelle peut être considérée comme sérieux. Nous exigeons du ministère de l’Éducation nationale le retrait de son projet de réforme et qu’il organise au plus vite de véritables groupes de travail en présence des syndicats des lycées professionnels, des organisations de parents d’élèves et de jeunesse.

Dans ce contexte et plus que jamais, nous rappelons notre soutien aux actions des personnels qui luttent contre les fermetures brutales de leurs lycées professionnels. La rentrée des congés scolaires sera l’occasion de multiplier les initiatives locales pour amplifier la mobilisation et réussir la journée de grève du 17 novembre.

Mouvement 2023 : provocation de la part du ministère

Les dates de saisie des vœux pour la phase interacadémique du mouvement 2023 ont été communiquées sur les boîtes mail des agent.es concerné.es sans aucune consultation des organisations syndicales.

Une drôle de conception du « dialogue social »

Après en voir fait la demande à plusieurs reprises, le SNUEP-FSU a été invité à une réunion au ministère vendredi matin pour discuter des nouveautés de la note de service concernant le mouvement 2023. L’invitation a été envoyée par le ministère le mercredi à midi, soit moins de deux jours avant ladite réunion. Les militant.es du SNUEP-FSU sont des collègues en poste dans des établissements et, pour la plupart d’entre eux, le vendredi est un jour où ils sont avec leurs élèves. Il leur a donc fallu s’organiser à la hâte pour se libérer afin de porter les revendications du SNUEP-FSU en matière de mouvement.

Mais le ministère n’en est pas resté là dans la provocation ! Sans attendre que les discussions prévues n’aient pu se tenir, il a communiqué les dates de saisie des vœux à l’ensemble des agent.es concerné.es via leur boîte mail professionnelle. Que voir d’autre dans cette façon de procéder que du mépris ?

Les dates de saisie des vœux

Les serveurs seront ouverts du mercredi 16 novembre midi (heure de métropole) au mercredi 7 décembre midi (heure de métropole). Avant toute saisie, il est vivement recommandé de contacter votre section académique SNUEP-FSU afin de bénéficier des meilleurs conseils pour mettre de votre côté le plus de chance d’obtenir l’académie que vous souhaitez

Une grève historique dans les lycées professionnels

Les personnels de lycées professionnels et des lycées agricoles et maritimes se sont fortement mobilisés mardi 18 octobre pour réussir une grève majoritaire à l’appel d’une intersyndicale unitaire. Les actions, rassemblements et manifestations qui se sont déroulés sur l’ensemble du territoire ont permis aux personnels d’exprimer clairement leur opposition à la réforme engagée de manière autoritaire et pyramidale par le président Macron et la ministre Carole Grandjean. Il faut en finir avec ce mépris des PLP : le ministre de l’Éducation nationale et celui de l’Agriculture doivent entendre la colère des personnels et M. Pap Ndaye répondre à la lettre ouverte envoyée par l’intersyndicale.


L’expertise des personnels de lycées professionnels que nous représentons est une évidence : ils connaissent les élèves et leur famille, maîtrisent les contenus de formations, certifient les diplômes et sont aussi dans une relation directe et régulière avec les entreprises qui accueillent nos jeunes. Pour ces raisons légitimes, nos organisations syndicales demandent au ministre d’organiser des groupes de travail avec les syndicats des lycées professionnels pour établir un diagnostic sérieux et rigoureux sur l’ensemble des difficultés des élèves et des personnels. Sans cet état des lieux préalable, il est inacceptable d’envisager et d’imposer une quelconque réforme.

D’ores et déjà, nos organisations soutiennent les actions des établissements mobilisés notamment ceux qui viennent d’apprendre avec une grande brutalité leur fermeture en septembre 2023, à Paris comme dans le grand Est.
Pour cela, nos organisations appellent à une semaine d’action dès la rentrée pour multiplier les initiatives locales et amplifier la mobilisation. Chaque initiative intersyndicale comptera : HIS communes, Assemblées générales, communication auprès des parents et des acteurs locaux, campagne de signatures de la pétition, tractages…
Nos organisations appellent à une nouvelle journée de grève et de mobilisation le jeudi 17 novembre sous forme de rassemblements et de manifestations et exigent toujours le retrait du projet de réforme de la voie professionnelle.
Nos organisations syndicales ont décidé de se revoir le 9 novembre pour une nouvelle expression commune.
Montreuil, le 20 octobre 2022

Rémunérations et carrières – La FSU se bat pour vos salaires

Nos organisations SNEP, SNES et SNUEP, syndicats de la FSU, vous proposent cette publication
avec des informations sur l’ensemble de votre carrière et de votre rémunération. Vous y trouverez
également nos revendications pour une juste reconnaissance, porteuses d’une vision du métier
et de la carrière soucieuse de l’intérêt général.

Les professeur·es des lycées professionnels ont revalorisé la voie professionnelle !

Une grève et une mobilisation réussies dans le 06 et le 83. Des taux de grévistes PLP qui dépassent les 50-60% dans beaucoup d’établissements. Des collègues du 1er degré, du collège ou du lycée se sont associés au mouvement C’est le point de départ du combat qui va s’intensifier pour exiger le retrait de la réforme macron pour sauver le lycée professionnel et refuser l’assignation sociale et à résidence d’un tiers de notre jeunesse !!

Petite précision sur le comptage: Il faut rappeler que le ministère qui indique moins de 30% des grévistes tient compte de l’enseignement public/privé, en prenant tous les enseignants, sans tenir compte de ceux qui ne travaillent pas le mardi ou qui ne commencent pas à 8h. Nos comptages tiennent compte du nombre de professeurs normalement attendus ce mardi 18 et du nombre de personnels qui se sont mis en grève sur l’ensemble de la journée.

Les professeur·es des lycées professionnels ont déposé les cartables et les outils pour exprimer leur totale opposition au projet de réforme Macron et exiger son retrait. Nous étions 62 % en grève et dans l’action devant nos lycées pros, les rectorats, les DSDEN et dans les manifestations partout sur le territoire.

Nos élèves sont invisibles, nos formations sont invisibles, les métiers auxquels nous préparons sont invisibles et, malgré toute la volonté du ministère pour renforcer la relégation sociale et scolaire de la voie professionnelle, nous PLP avons répondu présent·es mardi 18 octobre à l’appel d’une intersyndicale unanime ! Nous avons redonné de la dignité à nos métiers et à nos lycées professionnels en donnant à voir, par notre présence dans la grève, notre détermination à ne pas laisser le gouvernement et le ministère saccager l’avenir de nos élèves. Les opérations de communication du ministère ne fonctionnent plus et nous restons résolu·es à refuser le cadre imposé de la réforme ! Car si la réforme n’est pas écrite comme le prétend Carole Grandjean devant l’Assemblée nationale, le cadre est bien là. Ce premier recul communicationnel, à mettre au crédit de cette grève historique, est loin de satisfaire les PLP.

Le SNUEP-FSU demande en urgence des concertations académiques et nationales avec les organisations syndicales de l’Éducation nationale d’abord. Le ministre doit maintenant écouter ses personnels et leurs représentant·es syndicaux. Il est urgent de tirer un bilan rigoureux et objectif des difficultés avérés de nos élèves sur la base de données sérieuses en amont de toute perspective plus large de concertation. Le ministre doit dans un premier temps desserrer le calendrier contraint car aucune réforme, d’ampleur ou non, ne peut ni ne doit être arbitrée en janvier pour une mise en œuvre en septembre : c’est une aberration pour les jeunes mais aussi pour les personnels.

Ce que nous avons entamé par cette première étape de mobilisation est historique et nous devons en être fier·es ! Nous devons continuer à échanger entre collègues en heures d’information syndicales, en stage et en assemblées générales, pour continuer à construire le rapport de force, pour gagner et pour contraindre le ministère à écouter nos revendications : nos lycées professionnels et nos formations doivent être renforcées, nos métiers confortés, nos salaires revalorisés et les parcours scolaires des élèves sécurisés et augmentés.

Le SNUEP-FSU continue de porter haut et fort la voix des PLP qui s’est largement fait entendre mardi. Il soutient les collègues mobilisé·es dans leurs établissements. Dans l’intersyndicale mercredi soir, il portera aussi la nécessité de préparer un nouveau temps fort à la rentrée car le préalable à toute concertation sereine et sérieuse est bien le retrait du cadre imposé dans ce projet de réforme. La balle est dorénavant dans les mains du ministre. Charge à lui de l’envoyer dans la bonne direction : vers le patronat ou vers les personnels et les jeunes dont il a la responsabilité !

TOUTES ET TOUS EN GRÈVE LE MARDI 18 OCTOBRE 2022

En parallèle de l’appel national intersyndical, le Snuep-fsu a été à l’initiative de la création d’une intersyndicale au niveau académique dès le 29 septembre. Il a été décidé ce 12 septembre au soir en intersyndicale, de 2 rassemblements devant des LP à haute valeur symbolique :

NICE : à 10h30 devant le LP Pasteur
TOULON : 09 H 30 devant la gare SNCF

TRACTS À DIFFUSER MASSIVEMENT dans vos établissements en amont du 18 octobre :
Tract intersyndical académique :

Tract SNUEP-FSU Voie Pro :

Communique Intersyndical des Fédérations de l’éducation du 12 octobre pour la réussite du 18 octobre 2022

La FSU et l’égalité femmes/hommes : Octobre 2022

La FSU est une organisation qui revendique, assume et fait vivre son féminisme, elle s’inscrit de plus en plus dans les luttes pour l’égalité femmes/hommes. Depuis le congrès de Clermont-Ferrand, la FSU s’est dotée d’un mandat afin de mieux connaître la place des femmes au sein de ses structures. En tant que secrétaire général, je partage la volonté d’avancer sur ce chantier essentiel, d’aller au bout des débats.
C’est pourquoi j’ai demandé à l’Observatoire de la vie fédérale de s’investir dans ce chantier, en produisant une réflexion sur cette question, qu’on pourrait résumer ainsi : la place qu’on donne aux femmes, celle qu’elles prennent.

Communiqué : Lycée professionnel – En grève le 18 octobre pour le retrait du projet Macron

Le président Macron persiste à vouloir imposer aux personnels sa réforme des lycées professionnels calquée sur le modèle de l’apprentissage. C’est un exemple révélateur que la méthode ne change pas : aucun bilan de la réforme précédente, aucune concertation en amont de cette annonce brutale et une feuille de route tardive (et floue) alors même que des décisions lourdes de conséquences sont en préparation.

L’augmentation du nombre de semaines de stage impliquera moins de semaines d’enseignement dans nos lycées. Si le président a enfin concédé à dire que l’enseignement général doit rester une composante de la formation des jeunes, il l’a évoqué surtout à l’aune de disciplines qui seraient « fondamentales ». Les langues vivantes, l’éco droit, l’éco gestion, les arts appliqués, l’EPS, la PSE seront-elles considérées comme fondamentales et les postes des collègues concernés préservés ? Sa volonté de renvoyer la ventilation du volume d’enseignement général au niveau local impliquera une remise en cause du caractère national de l’accès aux formations professionnelles pour les jeunes et des diplômes professionnels. Nos organisations syndicales sont fermement attachées au principe d’égalité de notre école républicaine et revendiquent le maintien d’une grille horaire nationale pour toutes les filières professionnelles. Elles revendiquent aussi une dimension émancipatrice de la formation des jeunes à laquelle participent toutes les disciplines.

Cette diminution du temps scolaire percutera aussi les enseignant·es de matière professionnelle pour qui le président a déjà annoncé un vaste plan de reconversion. L’expérience vécue dans ce domaine par nos collègues de Gestion-Administration nécessite des engagements fermes du ministère pour permettre de vraies reconversions et se donner les moyens d’une vraie politique RH.

Nos élèves sont contraints par les lieux de stages. Nombreuses sont les entreprises qui ne peuvent pas leur proposer l’intégralité des plateaux techniques et des activités développées dans les lycées professionnels pourtant indispensables à l’obtention de leur diplôme.

Il veut imposer dès la 5ème de collège un dispositif « Avenir » consistant à dédier une demi-journée par semaine pour découvrir les métiers et les entreprises. Pour nos organisations il faut renforcer les missions et le nombre de personnels d’orientation et préparer les collégiens à tous les parcours d’orientation sans exception.

Oui la carte des formations doit évoluer, nous le portons haut et fort depuis des années. Pour nos organisations elle doit évoluer dans l’intérêt général du pays au prisme des grands enjeux écologiques, de la prise en charge du Grand âge, de la nécessaire réindustrialisation, du numérique… D’aucune façon, son « évolution » ne doit se restreindre à la seule mise en adéquation avec les besoins économiques immédiats et locaux des entreprises : chaque jeune, quel que soit le lieu géographique de son lycée professionnel, doit pouvoir trouver la formation de son choix.

Pour nos organisations syndicales CGT Agri, CGT Educ’action, CNT-FTE, SE-UNSA, SNALC, SNEP-FSU, SNES-FSU, SNFOEP, SNUEP-FSU, SEA-UNSA, SNEP-UNSA, CGT Enseignement privé, SNETAA-FO, SNETAP-FSU, SNUPDEN-FSU, SUI-FSU, SUD rural, SUNDEP-solidaires et SUD Éducation, l’urgence est de renforcer les lycées professionnels et de donner plus de temps et de moyens aux personnels pour faire réussir tous les élèves.

La réforme est à l’opposé de nos ambitions, c’est pourquoi nos organisations appellent à une journée de grève le mardi 18 octobre, point de départ de la mobilisation pour obtenir le retrait de ce projet.

Montreuil le 23 septembre 2022