Bac pro 2022 : le ministère porte la responsabilité de la dégradation des résultats

Les résultats de la session 2022 du bac pro viennent de tomber, et, comme il fallait s’y attendre, le taux de réussite après les épreuves du premier groupe chute de 3,5 points par rapport à la session précédente.

Le ministère porte une lourde responsabilité dans cette dégradation des résultats : il a refusé tout aménagement des épreuves cette année, alors que la génération des candidat·es qui s’y sont présenté·es a été percutée en seconde par le confinement, en première par les demi-jauges, et cette année par la vague omicron.

De plus, la génération 2022 est aussi la première à subir la Transformation Blanquer de la voie professionnelle qui a engendré simultanément une baisse des horaires d’enseignement et l’alourdissement d’un nombre important d’épreuves. Elle a également introduit l’évaluation hors sol et subjective du chef-d’œuvre qui n’atteste en rien des acquis techniques des élèves.

Le nombre d’élèves qui accèdent à l’épreuve de rattrapage augmente. Cependant les nombreuses alertes du SNUEP-FSU sur l’absence de formation des PLP à ce nouvel oral n’ont pas été entendues par le ministère.

Ce dernier serait bien inspiré, pour les futures sessions, de renforcer la voie professionnelle scolaire au lieu de mettre tout en œuvre pour la transférer en partie au ministère du travail.

Le SNUEP-FSU rappelle que l’accès au diplôme est une condition incontournable pour une insertion durable dans l’emploi et que plus le niveau de diplôme est élevé meilleure est l’insertion professionnelle. Pour répondre aux enjeux d’avenir des jeunes, le SNUEP-FSU rappelle l’exigence sociale que représentent :

  • une place renforcée pour la voie professionnelle scolaire au sein du seul ministère de l’Éducation nationale et l’arrêt de sa mise en concurrence avec l’apprentissage ;
  • une abrogation de la Transformation de la voie professionnelle et la restitution aux disciplines des horaires qu’elle leur a spolié ;
  • le retour au parcours scolaire en 4 ans pour le bac pro et 3 ans pour le CAP sans allonger la durée de PFMP.
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Communiqué de l’intersyndicale de la voie professionnelle

Les organisations syndicales (CGT Éduc’action, CNT, SNALC, SNETAA-FO, SNUEP-FSU, SUD Éducation, Se-UNSA) réunies en intersyndicale nationale de la voie professionnelle font le constat d’une fin d’année extrêmement difficile pour les personnels. Les nouvelles modalités d’examen ont été compliquées et la désorganisation qui les a accompagnées a encore ajouté à l’épuisement des collègues. La multiplication des convocations aux oraux de chef d’œuvre, les nouvelles épreuves en langues vivantes ou encore l’augmentation des situations d’évaluation ont accru les tâches encore accentuées par les exigences de la hiérarchie. Cette dégradation des conditions de travail amplifie la perte de sens du métier ressentie par beaucoup de collègues.

À ces difficultés s’ajoutent nos fortes inquiétudes liées aux annonces faites par Emmanuel Macron et reprises par le ministre N’Diaye qui s’inscrivent dans la continuité de la politique éducative menée depuis 5 ans.

Nos organisations syndicales dénoncent la volonté de doubler le nombre de semaines de PFMP pour les terminales CAP et bac pro ce qui va réduire encore plus l’enseignement général et professionnel de nos élèves et par conséquent réduire leur réussite à la certification et hypothéquer leurs chances de poursuites d’études.

Elles contestent l’idée d’une adéquation stricte qui lie la pérennité des formations offertes aux besoins d’emploi locaux. C’est caractéristique d’une vision à court terme qui ne lutte pas contre les déterminismes sociaux. L’heure doit être à des cartes de formation permettant d’envisager les transitions écologique, numérique et sociale qui s’imposent.

Nos organisations syndicales affirment que persister dans le soutien au développement démesuré de l’apprentissage et de la mixité des publics dans les lycées pros est une voie sans-issue. Elles considèrent que c’est une menace sur le statut des PLP et sur les missions émancipatrices de la voie professionnelle sous statut scolaire.

Cette posture qui décrète l’apprentissage comme la seule voie d’excellence se heurte aux études qui démontrent son caractère discriminatoire et alertent sur des taux d’abandon et de rupture vertigineux. De plus la Cour des Comptes, dans un récent rapport, ne constate aucune plus-value de qualité de formation et d’insertion dans l’emploi pour la jeunesse en général ni pour les jeunes de la voie professionnelle en particulier avec cette voie de formation. Elle met en avant la gabegie financière que représente l’apprentissage allant même jusqu’à évoquer une impasse financière.

C’est pourquoi les organisations syndicales CGT Éduc’action, CNT, SNALC, SNETAA-FO, SNUEP-FSU, SUD Éducation, Se-UNSA insistent sur la nécessité d’une rupture avec la politique de mise en concurrence entre les 2 voies de formation menée depuis plusieurs années et exigent le maintien et le développement de l’enseignement professionnel sous statut scolaire au sein d’un service public d’Éducation nationale accessible à toutes et tous sur l’ensemble du territoire. 

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l’US Rémunérations et carrières

Nos organisations SNEP, SNES et SNUEP, syndicats de la FSU, vous proposent ce bulletin qui
comporte des informations sur l’ensemble de votre carrière et de votre rémunération. Vous y
trouverez également nos revendications pour une juste reconnaissance, porteuses d’une vision
du métier et de la carrière soucieuse de l’intérêt général.

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CAPLP 2022 : chronique d’un échec annoncé !


30 juin 2022

Le 26 juin dernier, le nouveau ministre de l’Éducation nationale assurait par voie de presse « un prof devant chaque classe à la rentrée ». Force est de constater que cela ne sera pas le cas en lycée professionnel.

Alors que tous les résultats des concours de recrutement des professeur·es de lycée professionnel (PLP) ne sont pas encore connus, les premières remontées confirment les craintes du SNUEP-FSU : près de 300 postes ne seront pas pourvus aux CAPLP 2022 (pour rappel : 169 non pourvus à l’issue de l’intégralité de la session 2021). En Biotechnologies, 124 postes sont perdus, soit les deux tiers de ceux ouverts au concours. En Génie mécanique option construction, 19 postes sont rendus sur 25 ouverts, soit plus de 76 %. Même chose en Génie civil option équipements techniques-énergie, avec seulement 7 reçus pour 27 places. Mais les disciplines professionnelles ne sont pas les seules touchées. Les Lettres-Histoire, discipline faisant habituellement le plein, perdent plus d’1 poste sur 5 avec 121 admis·es pour 155 postes offerts. En Design et métiers d’art (anciennement Arts appliqués) option Design, 1 poste sur 2 est rendu (27 admis pour 55 places).

Si la crise de recrutement est ancienne dans les lycées pros, elle s’est aggravée sous l’effet de la réforme Blanquer de la formation initiale et du refus obstiné des ministères de la Fonction publique et de l’Éducation nationale d’offrir de véritables revalorisations salariales à la profession. La réforme de la formation présentée par le précédent ministre comme un moyen de renforcer l’attractivité des métiers enseignants est un échec cuisant avec ces chiffres historiquement mauvais. Le SNUEP-FSU l’a répété : on ne peut pas attirer des candidat·es avec des salaires gelés et dramatiquement faibles, des conditions de travail difficiles et un manque d’anticipation sur les affectations et conditions de stage des futur·es enseignant·es.  Le propre de cette réforme est aussi l’imprécision et le flou qui ont plané tout au long de sa préparation et de sa mise en place. On comprend mieux pourquoi certains rectorats ont tenté de devancer le problème de ce manque criant d’attractivité  en organisant des « job-dating ».

Nous pouvons donc confirmer officiellement : à la rentrée prochaine toutes les classes de LP n’auront pas un·e professeur·e dans chaque discipline pour assurer un enseignement de qualité aux élèves. Pour le SNUEP-FSU, il y a urgence à ouvrir un chantier spécifique sur la formation initiale des PLP et il est impératif de reconstituer les viviers de PLP. Cela passe par une forte revalorisation des salaires, une amélioration des conditions de travail et une politique ambitieuse de pré-recrutements.

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3.5 % : le niveau du mépris

Communiqué FSU, Les Lilas, le 28 juin 2022

Les organisations syndicales de la fonction publique ont obtenu que le ministre de la fonction publique annonce enfin une revalorisation du point d’indice. Pour autant, les 3.5 % annoncés sont très en deçà de l’inflation, pour l’instant  à 5,2 % et annoncée très prochainement à 7 %.

Après un quinquennat entier qui s’est acharné à maintenir le point gelé, cette augmentation ne saurait compenser les pertes ni réparer les conséquences lourdes pour les conditions de vie d’un grand nombre de personnels, en particulier les bas salaires et les plus précaires.

La situation inédite d’augmentation rapide du coût de la vie, cumulée à la dégradation résultant de 12 années de quasi-gel du point appelle pourtant une mesure d’une toute autre ampleur, avec une revalorisation d’urgence immédiate de 10 % au moins pour préserver les conditions de vie de tou-tes les agent·es publics, et un plan pluriannuel de rattrapage des pertes subies.

Pour la FSU, la situation impose une négociation sur l’ensemble des grilles de rémunération et de carrière intégrant de nécessaires mesures pour permettre en particulier d’atteindre l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. C’est un enjeu de société, car il en va de l’attractivité des métiers de la fonction publique, et donc de l’existence de services publics répondant aux besoins de la population sur l’ensemble du territoire.

La FSU considère donc ces 3,5 % comme une  étape largement insuffisante et qui en appelle une autre sans délai, tant cette augmentation est en décalage avec la réalité de l’évolution de coût de la vie. La FSU exige que soit rapidement concerté un mécanisme pérenne d’indexation des salaires sur l’augmentation des prix ainsi que l’ouverture de négociations portant sur les carrières et les rémunérations.

FSSS-CT Académique

Les CR de vos élu-es FSU de la FS-SSCT : une instance représentative pour la santé, la sécurité et les conditions de travail

COMPTE RENDU DE LA F3SCT A DU 21 FÉVRIER 2024
COMPTE RENDU DE LA SUITE DE LA F3SCT* ACADÉMIQUE DU 5 OCTOBRE 2023
COMPTE RENDU DE LA F3SCT A DU 5 OCTOBRE 2023
COMPTE RENDU DE LA FSSSCT A DU 2 MAI 2023
Compte rendu du CHSCTA du 9 novembre 2022
COMPTE RENDU DU CHS-CT  DU 27 JUIN 2022
Compte rendu du CHS-CT Académique du 30 mars 2022
CR du CHSCTA du 26 janvier présidé par M. le Recteur et en présence de l’ARS
Compte rendu du CHSCT A extraordinaire du 7 janvier
Compte rendu du CHSCTA du 8 décembre 2021
Compte rendu du CHSCTA du 8 octobre 2021
Compte rendu du CHSCT A du 30 août 2021
Compte rendu du CHSCT A du 17 juin 2021
Compte rendu du CHSCT A du 15 mars 2021
Compte rendu du CHSCT A du 20 janvier 2020
Compte rendu du CHSCT A du 11 décembre 2020
Compte rendu du CHSCT extraordinaire académique du 3 novembre 2020

Site du rectorat de Nice dédié à la santé et sécurité au travail (intracom)

Rapport de la Cour des Comptes sur l’alternance, le développement de l’apprentissage remis en cause

Depuis deux ans, le SNUEP-FSU alerte sur le déficit structurel de France Compétences, incapable de financer le développement de l’apprentissage voulu par le gouvernement précédent. Les critiques émises par le SNUEP-FSU sont confirmées par le rapport de la Cour des Comptes publié le 23 juin 2022.

Dans ce rapport, la Cour des Comptes questionne la stratégie nationale de l’alternance et l’efficacité des politiques menées en la matière. Face à cette stratégie et ces politiques, le SNUEP-FSU, quant à lui, ne constate aucune plus-value de qualité de formation et d’insertion dans l’emploi pour la jeunesse en général, ni pour les jeunes de la voie professionnelle en particulier. D’ici la fin 2022, près de 20 milliards d’euros d’argent public auront pourtant été dépensés. Comme le préconise la Cour des Comptes, le SNUEP-FSU continue à demander l’arrêt immédiat des aides exceptionnelles versées sans aucune contrepartie aux employeurs d’apprenti·es.

La loi Avenir pro et les divers plans de financement de la formation professionnelle (PIC, 1 jeune / 1 solution, plan de relance…) supposés permettre une meilleure adéquation entre formation et emploi comme répondre « aux besoins en compétences des entreprises » apparaissent inefficaces : les problèmes de pénurie de main d’œuvre n’ont jamais été aussi importants.

Le SNUEP-FSU a toujours dénoncé les politiques de libéralisation de l’offre d’apprentissage. Ces politiques fragilisent la formation professionnelle initiale sous statut scolaire et font disparaître des formations jugées trop coûteuses ou trop peu attractives. Ce rapport de la Cour des Comptes confirme l’urgence de remettre en place de la concertation entre les différents acteurs afin de garantir une offre de formation qui réponde à la fois aux attentes des usagers mais aussi aux besoins et aux enjeux futurs de notre pays. Dans ce cadre, le service public et notamment l’Éducation nationale et les lycées professionnels ont un rôle primordial à jouer.

La libéralisation de l’apprentissage n’a pas du tout été anticipée par le ministère de l’Éducation nationale. La Cour des Comptes souligne le retard pris dans le contrôle de la qualité des « formations » en apprentissage dans les milliers de CFA créés ces trois dernières années. Le SNUEP-FSU a récemment rappelé au ministère l’importance de son rôle sur le sujet ainsi que son impréparation quant à l’accroissement de la certification lui incombant. Celle des apprenti·es vient s’ajouter aux tâches habituelles de certification et de cours des professeur·es de lycée professionnel, rendant la fin d’année scolaire intenable et privant de cours les élèves des lycées professionnels publics.

Le SNUEP-FSU dénonce la présentation faite par la Cour des Comptes de l’apprentissage comme « solution unique pour les élèves en difficulté ». La soi-disant meilleure insertion pour les apprenti·es de CAP et bac pro s’appuie sur des études statistiques biaisées, servant d’argument depuis plus de 20 ans pour dévaloriser les lycées professionnels et leurs formations sous statut scolaire. Le SNUEP-FSU rappelle que ces derniers accueillent tous les jeunes sans distinction, discrimination ou sélection, au contraire de l’apprentissage. Investir pour les élèves défavorisé·es, sous représenté·es en apprentissage, c’est investir dans les lycées professionnels pourtant fortement attaqués par le quinquennat précédent.

Loin d’être la panacée pédagogique ou le modèle unique à développer, l’apprentissage, comme tout modèle de formation, a ses limites. Il doit être réinterrogé à l’aune des objectifs qu’on lui assigne et de son coût pour la société. Pour le SNUEP-FSU, il ne peut en aucun cas se substituer aux lycées professionnels et modéliser le service public de l’Éducation nationale.

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Pouvoir d’achat des agents publics : Il y a urgence

Communiqué de presse

À l’issue du scrutin législatif, de nombreuses incertitudes pèsent sur le calendrier des prochaines semaines.

Les organisations représentatives de la Fonction publique CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FAFP, FO, FSU, Solidaires, Unsa, prennent acte du résultat inédit des élections législatives, et des éléments de crise démocratique que celui-ci a révélé.

Depuis des mois, le haut niveau d’inflation se conjugue au gel de la valeur du point d’indice et fait chuter le pouvoir d’achat des agents publics.

Les organisations syndicales représentatives affirment avec force que les agents publics ne doivent pas faire les frais de cette situation.

Aussi, nous appelons à la convocation sans délai d’un rendez-vous salarial ouvrant des négociations pour que les mesures d’urgence relatives au pouvoir d’achat des agents publics soient discutées et mises en œuvre le plus rapidement possible, au plus tard le 1er juillet.

Ces mesures d’urgence devront porter sur :

  • Une revalorisation conséquente et visible de la valeur du point d’indice ;
  • Des mesures d’urgence sur les grilles de rémunérations, notamment pour accélérer l’égalité professionnelle entre les hommes et les femmes.

De plus, le gouvernement doit prendre l’engagement de revoir les organisations syndicales aussi souvent que nécessaire dans les mois à venir afin de construire un dispositif de prise en compte de l’inflation, attendu par les agents, de plus en plus nombreux à être concernés par les hausses successives du SMIC : 400 000 il y a deux ans, plus de 800 000 aujourd’hui. Combien demain si rien n’est fait ?

Dans un souci de justice sociale, nos organisations assumeront leur place et leur rôle pour défendre les intérêts des agents publics de la Fonction publique de l’État, de la Territoriale et de l’Hospitalière.

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Résultats et recours intra 2022 : contactez le Snuep-Fsu

Les résultats des mutations intra 2022 ont été communiqués ce lundi 20 juin. Transmission via I-Prof des décisions définitives d’affectation.

Depuis la mise en place de la loi de la transformation de la fonction publique les organisations syndicales sont mises à l’écart de toutes les opérations de mutation et de carrière : plus aucun moyen de contrôle, aucune information comme s’il y avait des choses à cacher !

Pour contrer cette volonté d’opacité, nous comptons sur vous pour nous informer du résultat de votre demande de mutation, n’oubliez pas d’indiquer votre discipline et votre ancien poste. (Voir bouton « Formulaire de contact » ci-dessous)

Si ce résultat ne vous convient pas (pas de mutation ou mutation hors vœux exprimés) vous pouvez faire un recours en utilisant la plateforme COLIBRIS.

N’oubliez pas de mandater le Snuep fsu (Ruggiero Andrée).

Un mode opératoire est en ligne sur le site internet de l’académie. Les personnels ayant participé au mouvement intra académique, non mutés, ou mutés en dehors des vœux formulés, ont la possibilité durant 2 mois à compter de la publication des résultats, de formuler un recours via le lien suivant :

  https://demarches-nice.colibris.education.gouv.fr/recours-suite-a-la-notification-de-l-affectation-obtenue-a-l-issue-du-mouvement-intra-academique-2022/

Contactez le Snuep-fsu Nice en remplissant le formulaire ci-dessous:

    ALERTE : grand oral, les PLP ne sont pas concernés

    En tant que PLP, vous n’avez pas à être convoqué·es pour faire passer les épreuves du grand oral du baccalauréat général et technologique

    Des collègues PLP ont été convoqué·es par le service des examens de certains rectorats pour interroger des élèves lors du grand oral du baccalauréat général et technologique. Le SNUEP-FSU a immédiatement réagi et fait annuler ces convocations qui n’ont pas lieu d’être (Bulletin officiel spécial n°2 du 13 février 2020).

    En cette période d’examens et de diverses convocations, en cas de doute sur la légitimité d’une convocation ou mission demandée, contactez le SNUEP-FSU.