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Mesures sanitaires – Rentrée 2021

Mise à jour 25 août 2021

Guadeloupe, Martinique et zone rouge de Guyane : au regard de la situation sanitaire dramatique, la rentrée est reportée au 13 septembre.

Réunion sanitaire du 25 août

Encore beaucoup de flou. À J-7 avant la rentrée, le ministère ne semble pas avoir pris la mesure de l’urgence de la situation.

La FSU est revenue sur la forme des annonces de ces derniers jours. Entre les premières déclarations sur le protocole le 28 juillet, en plein cœur de l’été, et des informations apportées dans un article payant dimanche 22 août, le ministre continue de privilégier une communication médiatique avant l’information aux personnels, insupportable !

La FSU a interpellé le ministère sur des questions spécifiques à la voie professionnelle :

  • les restaurants d’application seront-ils ouverts aux publics extérieurs et sur quelle base : passe sanitaire ou pas ?  Pour le SNUEP-FSU, dans le cadre de l’obligation scolaire, tous les élèves quelque soit leur statut vaccinal doivent pouvoir mener à bien leurs enseignements dans ce lieu.
  • Qu’est-il envisagé pour les PFMP dans les lieux où le passe sanitaire est obligatoire ?
  • Quelles mesures réglementaires sont envisagées concernant le nombre réglementaire de semaines de PFMP pour les examens ? Bon nombre d’élèves n’auront le nombre obligatoire pour obtenir leur diplôme en 2022 (certaines filières ont été très percutées ces deux dernières années sans que le rattrapage ne puisse se faire en 1 seule année).

Le ministère n’étant pas en mesure de répondre en séance, le SNUEP-FSU a exigé des réponses rapides, avant la rentrée.

Protocole

La FSU a rappelé que le protocole est forcément décalé car la situation entre juillet et maintenant est différente.

Le choix du niveau 2 pour la métropole pose question : sur quelles bases a été prise cette décision ? Quels sont les indicateurs qui définissent les seuils qui permettent de passer d’un niveau à l’autre ?
Les interrogations des scientifiques sont nombreuses : le niveau 2 paraît peu adapté à la situation de certains territoires. Il pourrait être possible de renforcer les mesures sur la cantine, moment où les élèves ne portent pas de masques : par exemple, mixer le niveau 2 et le niveau 3 pour la cantine, afin de passer au niveau 3 ?

Réponse du ministère 

Plusieurs indicateurs sont utilisés pour choisir le niveau du protocole : taux d’incidence, dynamique de l’épidémie, couverture vaccinale, situation hospitalière. Mais aucun seuil n’a été défini pour préciser le passage d’un niveau à l’autre au motif que c’est une combinaison de critères qui préside à la décision.

Règles d’éviction des élèves

Le ministre a précisé ces derniers jours que le statut vaccinal des élèves cas contact à risque serait déterminé sur la base des déclarations des familles. Cela fragilise la doctrine ministérielle et montre bien les problèmes posés par cette règle. La FSU a donc demandé que soit précisée la définition des cas contacts à risque, mais aussi de déterminer une règle de gestion des cas contacts à la fois plus simple et qui assure une protection efficace des personnels et des élèves. Il reste encore des questions sans réponse, notamment sur les personnels qui auront accès au statut vaccinal des élèves, faudra-t-il vérifier les attestations des parents etc. ?
Aucune réponse n’a été apportée.

La FSU a aussi demandé que des chiffres fiables, en open data, soient produits régulièrement sur la situation des les collèges et lycées : nombre de cas positifs, élèves mis en éviction, nombre de tests etc.

Sorties scolaires

Le SNES-FSU a rappelé que des problèmes risquaient de se poser rapidement : pour certains lieux de sortie, le pass sanitaire est exigé. Or certains élèves ne sont pas encore vaccinés et pourraient donc ne pas pouvoir participer à ces sorties, en particulier s’ils n’ont pas accès à des tests gratuits. Le SNES a rappelé qu’il n’était pas question de faire le tri entre les élèves. Des précisions doivent être apportées rapidement, d’autant plus que les sorties se programment très tôt dans l’année.

Réponse du ministère

Les précisions seront apportées après la rentrée.

Équipements des établissements

La FSU a pointé que si le ministre reconnaît désormais l’importance de l’aération, il reste à passer aux actes. De nombreux établissements ne sont pas encore équipés après 18 mois de crise sanitaire. Il est indispensable d’accélérer le processus d’équipement, surtout dans le contexte du variant Delta.
Le ministère fera un point avec les collectivités territoriales mercredi 25/08, tout en précisant que les « association d’élus n’expriment pas de tension sur la question ». Aucune réponse n’a été apportée à notre question sur le volume de la dotation financière pour aider les collectivités évoquée par le ministre ces derniers jours..

300 000 masques sont en cours d’acheminement dans les établissements pour les personnels, ainsi que 45 000 masques inclusifs.


Mise à jour 23 août 2021

Le ministre de l’Éducation nationale a précisé quelques éléments relatifs à la rentrée scolaire dans un quotidien du week-end le 22 août. Toujours dans le mépris, le ministre informe les personnels sur les conditions de rentrée dans la presse, via un article réservé aux abonnés. Et le flou persiste.

Niveau 2 du protocole en métropole c’est-à-dire un protocole allégé par rapport au printemps dernier.

Peu de réponses sur le reste : comment vont s’organiser les opérations de vaccination ? Comment vont s’organiser les sorties scolaires dans les musées et les théâtres ? Quelle politique de tests ? Les restaurants d’applications sont-ils soumis à l’obligation du passe-sanitaire et à la vaccination des élèves et enseignants ? Quelles obligations pour les PFMP ?

À10 jours de la rentrée, le ministre renvoie encore et toujours sur des précisions à venir.
Jean-Michel Blanquer découvre l’importance des capteurs de CO2 et veut « les généraliser ». Il était temps. Mais le ministre se garde bien de préciser quelle pourrait être l’aide financière pour les collectivités.

Pour toute question, contactez votre section académique.

Covid-19 et situation des personnels vulnérables – Rentrée 2021

Mise à jour au 23 août 2021

Le décret du 10 novembre continue de s’appliquer. En l’état actuel des dispositions réglementaires, si vous étiez en travail à distance, voire en ASA, vous pouvez donc rester dans une de ces situations.

En cas de questions ou de difficultés, ne restez pas isolés, contactez votre section académique.

Rappel des critères de vulnérabilité qui ont été rétablis et complétés par le décret du 10 novembre
1. Être âgé de 65 ans et plus ;

2. Avoir des antécédents (ATCD) cardio-vasculaires : hypertension artérielle compliquée (avec complications cardiaques, rénales et vasculo-cérébrales), ATCD d’accident vasculaire cérébral ou de coronaropathie, de chirurgie cardiaque, insuffisance cardiaque stade NYHA III ou IV ;

3. Avoir un diabète non équilibré ou présentant des complications ;

4. Présenter une pathologie chronique respiratoire susceptible de décompenser lors d’une infection virale : (broncho-pneumopathie obstructive, asthme sévère, brose pulmonaire, syndrome d’apnées du sommeil, mucoviscidose notamment) ;

5. Présenter une insuffisance rénale chronique dialysée ;

6. Être atteint de cancer évolutif sous traitement (hors hormonothérapie) ;

7. Présenter une obésité (indice de masse corporelle (IMC) > 30 kgm2) ;

8. Être atteint d’une immunodépression congénitale ou acquise :
• médicamenteuse : chimiothérapie anticancéreuse, traitement immunosuppresseur, biothérapie et/ou cortico-thérapie à dose immunosuppressive ;

• infection à VIH non contrôlée ou avec des CD4 < 200/mm3 ;

• consécutive à une greffe d’organe solide ou de cellules souches hématopoïétiques ;

• liée à une hémopathie maligne en cours de traitement ;

9. Être atteint de cirrhose au stade B du score de Child Pugh au moins ;

10. Présenter un syndrome drépanocytaire majeur ou ayant un antécédent de splénectomie ;

11. Être au troisième trimestre de la grossesse ;

12. Être atteint d’une maladie du motoneurone, d’une myasthénie grave, de sclérose en plaques, de la maladie de Parkinson, de paralysie cérébrale, de quadriplégie ou hémiplégie, d’une tumeur maligne primitive cérébrale, d’une maladie cérébelleuse progressive ou d’une maladie rare.

Il ne peut être demandé à un personnel vulnérable d’exercer en établissement qu’à condition que TOUTES les mesures de protection renforcées suivantes soient respectées :

a) L’isolement du poste de travail, notamment par la mise à disposition d’un bureau individuel ou, à défaut, son aménagement, pour limiter au maximum le risque d’exposition, en particulier par l’adaptation des horaires ou la mise en place de protections matérielles ;

b) Le respect, sur le lieu de travail et en tout lieu fréquenté par la personne à l’occasion de son activité professionnelle, de gestes barrières renforcés : hygiène des mains renforcée, port systématique d’un masque de type chirurgical lorsque la distanciation physique ne peut être respectée ou en milieu clos, avec changement de ce masque au moins toutes les quatre heures et avant ce délai s’il est mouillé ou humide ;

c) L’absence ou la limitation du partage du poste de travail ;

d) Le nettoyage et la désinfection du poste de travail et des surfaces touchées par la personne au moins en début et en fin de poste, en particulier lorsque ce poste est partagé ;

e) Une adaptation des horaires d’arrivée et de départ et des éventuels autres déplacements professionnels, compte tenu des moyens de transport utilisés par la personne, afin d’y éviter les heures d’affluence ;

f) La mise à disposition par l’employeur de masques de type chirurgical en nombre suffisant pour couvrir les trajets entre le domicile et le lieu de travail lorsque la personne recourt à des moyens de transport collectifs.

PIAL dans le Var : groupe de travail du 29 juin 2021

  • L’objectif du gouvernement étant une gestion de l’inclusion scolaire 100% en PIAL, la DSDEN du Var a présenté la future organisation des PIAL et leur déploiement pour la rentrée scolaire 2021/2022.

Ces PIAL seront implantés selon les 15 réseaux d’école déjà existants, il y aura plusieurs PIAL par réseau. Sont prévus : un coordonnateur par PIAL, des pilotes de PIAL pour chaque réseau, tous en lien avec la DSDEN et plus particulièrement le Service Départemental de l’Ecole Inclusive (SDEI) composé de l’équipe ASH et de la DOS. Il y aura 78 PIAL mis en place à la rentrée, couvrant l’ensemble du département. Il y aura des PIAL 1er degré, des PIAL 2nd degré, des PIAL inter-degrés, des PIAL mixtes public privé et des PIAL uniquement privés selon les particularités de chaque secteur. Chaque PIAL prendra en compte la gestion des AESH : un minimum de 10/15 AESH jusqu’à un maximum  de 30 AESH par PIAL.

  • La FSU a rappelé son opposition au PIAL :

Il ne représente aucune sortie de la précarité pour les AESH, il n’offre aucune proposition de formation, Il ne résout pas le problème de manque de personnel.

Il a pour but de rationnaliser le temps de travail des AESH et non d’améliorer leur situation ni celle des élèves. Nous dénonçons cette logique comptable.

La FSU craint que l’accompagnement mutualisé prenne le pas sur l’accompagnement individualisé.

Si les AESH ont été créés c’est justement pour que les élèves bénéficient d’un suivi par une personne référente, qu’ils se sentent en confiance. Nous considérons que la construction d’un lien efficace entre l’élève et son AESH ne peut se faire si l’enfant est encadré par un trop grand nombre d’AESH.

La FSU réclame la création d’un statut de la Fonction Publique, une formation à hauteur des besoins et une augmentation salariale.

D’autre part la FSU a dénoncé une surcharge de travail pour les enseignant.es coordonnateur.trices qu’ils ou elles soient adjoint.es ou directeur.trices.

Enfin la FSU s’est fermement opposée à la création des PIAL mixtes public / privé qui sont une atteinte au principe de la laïcité et en a demandé l’annulation. Des coordonnateur.trices du public se verraient intervenir dans le champ de l’enseignement privé ou inversement. Pour la FSU c’est inacceptable.

  • La FSU a demandé :

Pour les élèves :

  • Des garanties de non diminution d’heures d’accompagnement. L’administration s’est engagée à ne pas modifier les notifications sans passer par les ESS.
  • Des garanties qu’un enfant ne sera accompagné que par 1 AESH ( 2 au plus) ? L’administration ne peut le garantir.

Pour les AESH :

  • La prise en compte de leurs vœux (niveau d’intervention, secteur géographique) La DSDEN a répondu qu’une mobilité fonctionnelle ou géographique sera possible à l’avenir.
  • Une distance maximale entre deux établissements d’intervention de 15 minutes à pied.
  • La création d’une brigade d’AESH remplaçant.es. La DSDEN ne souhaite pas sa mise en place.
  • Les établissements recevront avant le 6 juillet les affectations des AESH.
  • Eviter le morcellement du temps de travail : l’administration au contraire semble trouver de l’intérêt dans le morcellement, notamment pour remplacer des AESH qui partent à la retraite en cours d’année. Ce qui amène à répartir ces heures sur les emplois du temps d’autres AESH du PIAL en heures supplémentaires.
  • Eviter les dérives de chefs d’établissement qui contraignent les AESH à remplir des missions non prévues dans leur contrat (secrétariat, rangement, …). L’administration reste très floue sur sa réponse.

Pour les coordonnateurs PIAL :

  • Comment sont recrutés ces coordonnateurs ? Quel calendrier pour la mise en place ? L’administration prétend faire appel aux volontaires et que ce travail se fait en coopération. 60 à 70% des coordonnateurs sont d’ores et déjà trouvés, ils auront un temps d’échange avant les vacances puis des journées de formation banalisées sur le Paf l’année prochaine
  • Nous n’avons pas d’information sur les secteurs restés sans coordonnateurs.
  • Dans le Var, pas de ¼ de décharge supplémentaire prévu, rétribution par une IMP (Indemnité de Mission Particulière) mais le montant ne sera dévoilé que plus tard en CTA.

La FSU soutiendra tou.tes les collègues qui subiraient des pressions pour se voir imposer cette mission supplémentaire. L’accord de l’intéressé est un principe conformément au décret n° 2015-475 du 27 avril 2015 instituant les IMP .

Pour le poste d’AESH référent :

  • Quelle est la fiche de poste ? On l’aura à la rentrée
  • Quel allègement de service est prévu ? Ce sera un poste à temps plein à la DSDEN du Var avec matériel mobile pour se déplacer, il fera partie du SDEI
  • Un texte officiel de 2020 définit la rémunération (600 euros).
  • Il ou elle sera recruté-e au cours du mois de septembre

Quelques réponses ont été apportées par l’administration mais beaucoup de nos remarques issues de nos échanges avec les enseignants et AESH sur le terrain n’ont pas été prises en compte.

Vos élu.es FSU continueront de porter avec force et détermination, partout où cela est possible, les revendications qui permettront d’améliorer les conditions de travail des personnels AESH.

Calendrier des affectations stagiaires 2021-2022

Résultats de l’affectation en académie des stagiaires CAPLP rentrée 2021 par discipline

Dès la fin de la publication des résultats des concours de la session 2021 du CAPLP et du concours CPE, le Ministère procède à l’affectation dans une académie des lauréat·es des concours 2021 et de celles et ceux en report de stage d’une session précédente. Les lauréat·es déjà titulaires d’un autre corps de l’enseignement public de l’éducation nationale (premier et second degrés) restent dans l’académie pour leur année de stage. Celles et ceux qui étaient stagiaires en 2020-2021 restent dans l’académie obtenue au mouvement interacadémique.

Selon le calendrier transmis par le Ministère, les résultats seront communiqués en trois vagues, les 29 juin, 6 juillet et 9 juillet (voir ci-dessous). Attention, après cette première phase, les futur·es stagiaires doivent saisir de nouveaux vœux pour leur affectation à l’intérieur de leur académie. Chaque académie possède son propre calendrier : contactez la section académique du SNUEP-FSU.

29 juin 2021

 ESTHETIQUE COSMÉTIQUE
 COIFFURE

6 juillet 2021

 ARTS APP DESIGN
 ARTS APP MÉTIERS D’ART
 ECO GEST COMMERCE-VENTE
 ECO GEST TRANSPORT
 ECO GEST ADMINISTRATIO
 HOT REST PRODUCTION CULINAIRE
 BOULANG PATISSIER
 HOT REST SERVICE

9 juillet 2021

 CPE
 BIOTECH SANTE
 LETTRES-HIS GEO
 LV-ALLEMAND LET
 LV-ANGLAIS LET
 LV-ESPAGNOL LET
 MATH – PHYS CH
 G IND BOIS
 G IND M SOUPLES
 G IND STR METAL
 REP REV CARROSS
 G CIV CONST ECO
 G CIV CONST REA
 BAT PEINT-REV
 G CIV EQUIP TEC
 G MECA CONSTRUC
 G MECA PRODUCT
 G MECA M VEHICU
 G MECA MSMA
 G EL ELECTRONIQ
 G EL ELECTROTEC
 CONDUCTEURS ROU
 SC TECH MED SOC

1er tour des élections régionales et départementales

Résolument indépendante de tout parti politique dans son engagement syndical, la FSU n’est cependant pas indifférente aux débats qui traversent la société : chômage massif, précarité de l’emploi, destruction de services publics, besoins sociaux peu ou mal assurés, augmentation de la pauvreté. Alors que pour certain.es, tout va très bien : il n’y a qu’à voir les profits distribués aux actionnaires des grandes entreprises ou le montant de la fraude fiscale des plus riches. Et durant la crise sanitaire l’ensemble de ces éléments s’est amplifié.

Les fonctionnaires ont montré leur rôle essentiel depuis plus d’un an, assurant chaque jour la continuité des services publics tout en étant en première ligne : éducation, santé, social, besoins indispensables à la vie quotidienne. Pour autant, le gouvernement n’a eu de cesse de continuer sa politique de remise en cause des services publics et d’appliquer ses contre-réformes.

La séquence électorale que nous vivons requiert donc une mobilisation de tous et de toutes.

La Région et le département sont des niveaux importants de décisions qui ont des impacts sur le quotidien des habitant.es du Var, des Alpes-Maritimes et de Paca. La compétence économique est loin d’être la seule : collèges, lycées, enseignement supérieur, transports, formation, orientation, culture, aménagement du territoire, gestion des déchets, l’action sanitaire et sociale en direction des personnes âgées, handicapées…façonnent aussi le présent et l’avenir. Dans le Var et les Alpes-Maritimes, la FSU a proposé des rencontres à l’ensemble des partis républicains. Au niveau régional, la FSU a diffusé largement ses propositions : https://paca.fsu.fr/electionregionale

Si, dans notre région, de nombreux observateurs s’accordent pour dire que le scrutin est joué d’avance, la FSU du Var et des Alpes-Maritimes considère que la participation du plus grand nombre d’électrices et d’électeurs dès le 1er tour est de nature à bouleverser les résultats attendus.

Notre action syndicale est guidée par des valeurs :

la valorisation et le renforcement du service public, la défense de l’emploi, des salaires, des retraites et des conditions de travail, la défense des libertés démocratiques. Le progrès social, la transition écologique, la solidarité et l’égalité des droits pour toutes et tous sont au cœur de notre projet de société. La FSU est engagée contre les idées et les actions d’extrême droite.

Nous n’appelons pas à voter pour telle candidate ou tel candidat, mais nous appelons à aller voter et à porter son choix sur des projets cohérents avec les valeurs que nous défendons.